Si este discurso no es comprendido por unos y otros, veo bastante inviable una solución en Cataluña:
Ahora es cuando sancionan y expulsan a España de la UE por fascista.
Tiempo al tiempo. Cada vez hay más voces europeas que hablan de aplicar el Artículo 7 de la UE a España.
Por cierto, resulta muy gracioso ver al nacionalismo español rajando de Europa y poniendo en duda si fue una buena idea haber entrado en la UE (ayer mismo, en el congreso del PP). Mira por dónde, después de amenazar a los catalanes en dejarnos fuera de la UE y de regalar doctorados honoris causas a Juncker como quien regala un máster, ahora el nacionalismo hispano empieza a cuestionar el asunto europeo.
Todo eso tiene su paralelismo en los años 40, cuando la ONU vetó la entrada de España por su régimen fascista. En aquel aislamiento internacional, en lugar de realizar las reformas que le pedía el mundo, el franquismo inició una campaña de "horgullo patrio" cuyo lema popular era "pues si ellos tienen ONU, nosotros tenemos DOS".
Siempre lo mismo: cojones en lugar de cerebro, como decía Machado.
Será básico, pero muchos de los dirigentes independentistas siguen sin pensar en todos los ciudadanos que no les apoyan, siguen diciendo que como son mayoría parlamentaria, pueden (y quieren) seguir por su vía.Es tan básico que asusta tener que decirlo.
El Articulo 7 os lo habéis saltado los independentistas tantas veces que ya habéis olvidado hasta lo que pone.
El Articulo 7 os lo habéis saltado los independentistas tantas veces que ya habéis olvidado hasta lo que pone.
El Artículo 7 de la UE solo se aplica a los estados, algo que deberías saber. Y Cataluña -y mucho menos "los indepes"- no es ningún estado de la UE.
Diría que tu apresurada respuesta es un simple corolario del mantra unionista "os habéis saltado todas las leyes habidas y por haber".
El descredito del pp es un melon ya con hondas internacionales ,su corrupción despues de cifuentes ya clama en europa y la prensa la maldita prensa jejeje....
L’information traitée par les médias espagnols en juillet dernier est passée aujourd’hui à l’arrière plan compte tenu de l’actualité en Catalogne. Mais c’est aussi l’une des raisons du souhait d’indépendance des Catalans. L’Espagne est actuellement dirigée par le parti le plus corrompu d’Europe.
Cette information est relatée par plusieurs médias espagnols. Parmi ceux-ci El Diario qui n’hésitait pas à titrer en mars dernier : « La corrupción endémica del Partido Popular ». Une assertion largement étayée : « Depuis 1978 jusqu’à nos jours, plus de 175 réseaux de corruption ont été découverts, tous associés aux partis au pouvoir et selon la Commission nationale des marchés des valeurs, (CNMV), cette corruption ne coûte pas moins de 45 milliards d’euros annuels à l’Espagne.
La plus grande part est prise par le Partido popular (PP), qui est le parti qui gouverne et qui prévoit de continuer à gouverner les prochaines années ». Un parti que Mariano Rajoy a intégré dans les années 1980 – le PP s’appelait alors Alianza Popular et était conduit par Manuel Fraga, un ministre de Franco – et dans lequel il a gravi tous les échelons avant de prendre les fonctions directives en 1989, de devenir ministre sous le gouvernement Aznar , puis de diriger le parti en 2004. Un parti qui gouverne, avec Rajoy à sa tête, l’Espagne depuis 2011. Un parti qui est surtout poursuivi pour…. 900 plaintes pour corruption.
Les affaires pleuvent. « Durant une période, il en sortait pratiquement une par semaine, parfois chaque jour » indique El Diario. « Marchés publics truqués », « Pots-de-vins », « fausses factures », « comptes en Suisse »…. L’affaire de la « comptabilité occulte » du PP a précédé le dossier Correa de Valence du nom d’un entrepreneur véreux, l’affaire « Punica » qui impliquait les dirigeants du PP de Madrid et des entreprises du BTP, l’affaire Cristina Cifuentes, la présidente de la Région de Madrid, inculpée pour des marchés truqués au profit de l’entrepreneur Arturo Fernandez, l’opération Lézo dans laquelle étaient mouillées pas moins de 60 personnes….
Lors de procès récents, la Guardia civil elle-même a mis en cause le ministre de la Justice Rafael Catalá, le procureur général de l’État espagnol, José Manuel Maza, et le Chef du parquet anti-corruption, Manuel Moixy, tous trois accusés d’avoir pris des initiatives pour freiner les enquêtes anti-corruption. Le dernier cité, l’homme anti-corruption de l’Espagne, Moixy, est poursuivi pour blanchiment d’argent dans des sociétés panaméennes.
L’affaire Palma Arena mouille les dirigeants PP des Baléares, et s’ajoute aux quelques autres citées.
Francisco Correa impliqué dans les affaires du PP à Valence aimait se faire appeler « don Vito », nom d’un maffieux dans le film le Parrain. Il a expliqué s’être fait attribuer pendant des années, entre 1999 et 2005 au moins, des marchés publics dont il rétrocédait 2 à 3 % des montants au trésorier du Partido Popular, Luis Barcenas, « après avoir pris sa part ». Un financement qui a permis de verser aux cadres du Parti Popular des « compléments de salaires ». Selon l’enquête, Rajoy aurait ainsi reçu, entre autres, près de 25 200 € annuels pendant onze ans.
Entendu dans le cadre d’un procès de corruption en juillet dernier, le Premier ministre espagnol, qui a passé près de 40 ans dans les instances dirigeantes du parti, a pu déclarer sans rire, qu’il n’était au courant de rien. Cette corruption mouille évidemment tout le secteur économique espagnol, dont les entreprises. Selon El Diario, 34 des 35 sociétés espagnoles de l’IBex, l’équivalent du Cac 40 français, comptent près de 900 filiales dans les paradis fiscaux.
Ce fonctionnement particulier explique des investissements comme la construction de l’aéroport de Ciudad Real, un investissement de plus d’un milliard d’euros pour l’État. L’aéroport, doté de la plus longue piste d’Europe et inauguré en 2009 n’a jamais accueilli d’avion de ligne et a fermé en 2011. Même aventure pour l’aéroport de Castellon (Castelló de la plana). S’ajoutent à cela le stade olympique de Séville, 120 M€, qui n’a pratiquement jamais servi, la Cité de la culture de Galice, 400 M€ envolés. Sans parler des lignes TGV surdimensionnées.
Toutes les affaires judiciaires sont évidemment torpillées par le Partido popular au pouvoir.
La Commission nationale des marchés de la compétence (CNMC), chiffre à 90 milliards par an le montant des délits de corruption en Espagne, dont 47,5 milliards liés à des surcoûts dans les marchés publics. Un chiffre que confirme à un chouïa près la Commission nationale des marchés des valeurs, (CNMV) avec son estimation à 45 milliards. Ce qui représente plus de 7,5 % de la dépense publique espagnole.
45 milliards, c’est de quoi faire pratiquement 3 750 collèges ou lycées en France par an.
Il est impossible en France de comprendre le phénomène de montée de l’indépendance de la Catalogne si on n’intègre pas le problème profond de corruption qui touche l’Espagne. Rappelons que le budget annuel de la Catalogne est de 29,7 milliards d’euros, pratiquement la moitié du volume global de la corruption liée au pouvoir de Madrid.
Ce niveau record de corruption, alors que les infrastructures manquent en Catalogne, est l’un des motifs du mouvement indépendantiste. Les Catalans pensent qu’ils peuvent s’administrer mieux que ne le fait le gouvernement central.
Ces problèmes de corruption peuvent aussi expliquer les actions actuelles de Madrid contre la Catalogne : lorsqu’on parle de la Catalogne, on ne parle plus de la corruption à Madrid. Un joli contre-feu en quelque sorte.
Les problèmes de corruption frappent d’ailleurs moins le Pays basque et la Catalogne. Les deux affaires ayant fait le plus de bruit de l’autre côté de la frontière concernent une dissimulation fiscale de 7 M€ de la part de l’ancien président Jordi Pujol, et une affaire de marché truqué de la part du CDC, son parti politique, pour 6,6 M€, deux affaires faisant l’objet de poursuites.
Ce n’est toutefois pas le niveau des volumes de « la corruption endémique du Partido popular » dont parlent les journaux espagnols.
fuente Plus de 45 milliards d'€ de corruption annuelle : Rajoy est à la tête du parti politique le plus corrompu d'Europe
No estoy de acuerdo... Todo esto viene de allí. Muchas jugadas maestras, muchos maestros en Twitter, muchas Raholas y muchos insignes profesores estadounidenses aficionados a las chaquetas... Como para que ahora encima exijan los mismos derechos que ellos niegan a los que no les siguen al son de la flauta. Esto terminará mal, pero eso no quita que el Estado no pueda aplicar los mecanismos que crea necesarios para luchar contra los líderes independentistas. Lo lamentable es que esos mecanismos, entre complejos y estrechez legal se han mostrado muy limitados. Como para que ahora encima acusen a España de fascista y se la meen en la cara mientras los otros brindan con el cava que les sobró en navidades. Es lo que me repatea. Que encima de tontos, nos tenemos que dejar humillar. Eso es democrático.
El Articulo 7 os lo habéis saltado los independentistas tantas veces que ya habéis olvidado hasta lo que pone.
El Artículo 7 de la UE solo se aplica a los estados, algo que deberías saber. Y Cataluña -y mucho menos "los indepes"- no es ningún estado de la UE.
Diría que tu apresurada respuesta es un simple corolario del mantra unionista "os habéis saltado todas las leyes habidas y por haber".
El Articulo 7 os lo habéis saltado los independentistas tantas veces que ya habéis olvidado hasta lo que pone.
El Artículo 7 de la UE solo se aplica a los estados, algo que deberías saber. Y Cataluña -y mucho menos "los indepes"- no es ningún estado de la UE.
Diría que tu apresurada respuesta es un simple corolario del mantra unionista "os habéis saltado todas las leyes habidas y por haber".
No, si ahora va a resultar que no os habéis saltado ninguna y todo es "un mantra"...
El Tribunal de Luxemburgo ha sido invocado en numerosas ocasiones para establecer la interpretación auténtica de normas de todo tipo, también penales. En una de ellas fue la justicia española la que planteó reservas sobre la extradición de un ciudadano italiano que había sido condenado en rebeldía en su país, en el denominado caso Stefano Melloni, huido de Ferrara. Como una pena de este tipo no cabe en España, se preguntó a dicha instancia de la justicia europea qué interpretación debía darse a las normas relativas a la euroorden. Y la conclusión fue que España debía entregar a dicha persona reclamada, aunque de acuerdo con su legislación interna cupieran dudas más que razonables de que existiera esa obligación. Y el hecho es que el afectado fue puesto a disposición de las autoridades italianas.
No creo que respecto a Europa se haya cambiado de opinión, al menos de forma significativa. La mayoría de independentistas quieren estar en la UE y siempre lo han querido. Muchos, entre los que me incluyo, siempre hemos pensado que en caso de una DUI la UE encontraría la forma de, por un lado castigar la DUI, y por otro continuar haciendo negocios con Catalunya. Eso significa que mientras una Cataluña independiente no sea un hecho consumado, la UE, si tiene algo que decir, será a favor de la unión de España. Otra cosa es que el Estado, en su lucha, lo haga tan sumamente mal que obligue a intervenir. A ese punto no hemos llegado, pero el PP y su hacendado, hacen todo lo posible para llegar ahí.
Claro que no Manu, era todo "simbolico" no se han saltado nada, era todo broma, de mucha risa.
LoJaume a ver si te enteras de una vez, que salvando el tema de la rebelión, el juez alemán también se ha meado encima de los indepes dejando bien claro entre otros conceptos, que no hay presos políticos. Por lo que el recurso en el TDH y demás instancias internacionales tiene menos recorrido que una acelga. Ahora si te quieres agarrar a un clavo ardiendo, ya es tu problema.Claro que no Manu, era todo "simbolico" no se han saltado nada, era todo broma, de mucha risa.
Yo no he negado que el Govern se saltase ninguna ley española. Lo que he dicho es que el estado español se ha saltado unas cuantas, y que la justicia internacional lo está demostrando.
Volviendo el trance por pasiva, ¿admitiría Alemania o cualquier Estado que se precie que el presidente del länder de Baviera, por ejemplo, promulgara unilateralmente su independencia, valiéndose de su policía autonómica cual «organización criminal», como ha resuelto la juez Lamela para imputar por sedición al ex mayor de los mossos, se fugara a España con su cohorte y se le brindara impunidad judicial?
LoJaume a ver si te enteras de una vez, que salvando el tema de la rebelión, el juez alemán también se ha meado encima de los indepes dejando bien claro entre otros conceptos, que no hay presos políticos. Por lo que el recurso en el TDH y demás instancias internacionales tiene menos recorrido que una acelga. Ahora si te quieres agarrar a un clavo ardiendo, ya es tu problema.